Entretien avec Jean Houssaye
Résumé
Liste des questions d'Émilie Dubois :
- Comment est né ce projet de revue Penser l’éducation il y a 25 ans ?
- Comment s’est passé le lancement de la revue ?
- Comment la revue s’est-elle articulée avec le laboratoire CIVIIC ?
- Comment avez-vous choisi ce titre Penser l’éducation ? Aviez-vous hésité avec d’autres titres ?
- Dans le premier numéro, vous avez rédigé un prélude, pourquoi ce prélude et non un éditorial ou une préface ? Et 25 ans plus tard, qu’est-ce qui a changé dans la revue par rapport à ce qu’annonçait ce prélude ?
- Avec le recul, comment percevez-vous l’évolution de la revue ?
- Selon vous, quelle est la place de Penser l’éducation dans le panorama des revues en sciences de l’éducation et de la formation ? En quoi est-ce une revue singulière ?
- Et par rapport à ce champ de la philosophie de l’éducation qui passe aussi par les pédagogues, comment se porte-t-il aujourd’hui ? Dans le prélude, vous écriviez qu’il n’avait pas toujours une forte visibilité. Qu’en est-il aujourd’hui ?
- Penser l’éducation est une revue qui fonctionne sans publicité, qui reçoit spontanément des propositions d’articles. Donc elle répond aussi à ce besoin d’écrire des chercheurs en philosophie de l’éducation et en histoire des idées pédagogiques.
- Cela tombe très bien que vous en parliez puisqu’on y travaille ! On a pour souhait de renforcer de nouveau ces publications qui sont toujours bien présentes, mais peut-être moins qu’au début. On serait même prêts à accueillir aussi des publications en langue étrangère, même si cela impacte tout le processus de publication, de l’expertise aux relectures avant impression.
- Comment est né ce projet de revue Penser l’éducation il y a 25 ans ?
- Comment s’est passé le lancement de la revue ?
- Comment la revue s’est-elle articulée avec le laboratoire CIVIIC ?
- Comment avez-vous choisi ce titre Penser l’éducation ? Aviez-vous hésité avec d’autres titres ?
- Dans le premier numéro, vous avez rédigé un prélude, pourquoi ce prélude et non un éditorial ou une préface ? Et 25 ans plus tard, qu’est-ce qui a changé dans la revue par rapport à ce qu’annonçait ce prélude ?
- Avec le recul, comment percevez-vous l’évolution de la revue ?
- Selon vous, quelle est la place de Penser l’éducation dans le panorama des revues en sciences de l’éducation et de la formation ? En quoi est-ce une revue singulière ?
- Et par rapport à ce champ de la philosophie de l’éducation qui passe aussi par les pédagogues, comment se porte-t-il aujourd’hui ? Dans le prélude, vous écriviez qu’il n’avait pas toujours une forte visibilité. Qu’en est-il aujourd’hui ?
- Penser l’éducation est une revue qui fonctionne sans publicité, qui reçoit spontanément des propositions d’articles. Donc elle répond aussi à ce besoin d’écrire des chercheurs en philosophie de l’éducation et en histoire des idées pédagogiques.
- Cela tombe très bien que vous en parliez puisqu’on y travaille ! On a pour souhait de renforcer de nouveau ces publications qui sont toujours bien présentes, mais peut-être moins qu’au début. On serait même prêts à accueillir aussi des publications en langue étrangère, même si cela impacte tout le processus de publication, de l’expertise aux relectures avant impression.